Une synergie phytominérale pour une détoxification hépatique optimale
Le complément alimentaire ErgyEpur de Nutergia associe 4 plantes aux actions reconnues sur la sphère hépato-biliaire :
Chardon-marie - graines --> Cholagogue, hépatoprotecteur[1]
, antioxydant[2]
, anti-inflammatoire[1]
Artichaut - feuilles --> Cholagogue[3]
, antioxydant[3]
, hépatoprotecteur[3]
, draineur[4]
Desmodium - feuilles --> Hépatoprotecteur[5]
, anti-allergique[5]
, antioxydant[5]
Boldo - feuilles --> Cholagogue, digestif, hépatoprotecteur[6]
Minéraux et oligoéléments potentialisant l’action des plantes :
Le filtrat argilo-marin apporte de nombreux minéraux et oligoéléments ; il est enrichi en oligoéléments catalyseurs des
enzymes antioxydantes : manganèse, cuivre et zinc.
Indications
ERGYEPUR peut être conseillé :
- Lors de désagréments hépato-biliaires (lourdeurs digestives, langue chargée, mauvaise haleine, états nauséeux,
teint jaunâtre, migraines…),
- Comme adjuvant lors de problèmes hépatiques inflammatoires (transaminases élevées),
- Lors d’intoxications aiguës, abus d’alcool,
- Aux changements de saisons pour un drainage des toxiques et toxines.
Précautions d'emploi
Non recommandé pour les enfants de - de 3 ans
Non recommandé pour les femmes enceintes
Conseils d'utilisation
Prendre 10 à 20 ml par jour d'ErgyEpur de Nutergia, dans ½ verre d’eau de préférence en
dehors des repas.
Cure de 2 à 3 mois.
• Utilisation à partir de l’âge de 3 ans (avant remplacer par
ERGYBIOL).
Ingrédients
Solution aqueuse d’oligoéléments (eau filtrée, concentré d’eau de mer, filtrat d’eau argileuse, chlorures de zinc et de chrome, sulfates de manganèse et de cuivre, gluconate de fer, molybdate et sélénite de sodium, acidifiant : acide lactique), stabilisant : glycérine végétale ; extrait de chardon-marie (Silybum marianum)**, artichaut (Cynara scolymus)**, desmodium (Desmodium adscendens) et boldo (Peumus boldus)**, arôme naturel, conservateur : sorbate de potassium ; acidifiant : acide lactique. ** Plante de culture biologique Plante sauvage
Drainage, protection et vitalisation hépatiques
Le foie est la glande la plus volumineuse de l’organisme. Véritable petite usine chimique, il accomplit un grand nombre de fonctions (stockage et répartition des nutriments, synthèse des protéines sanguines, production de la bile, dégradation des substances toxiques), c’est dire son rôle vital. Il reçoit en direct le sang chargé de déchets en provenance de l’intestin. Il assure alors son rôle de "filtre et transformation de toxines" : c’est la détoxification. Ainsi il va "neutraliser" des composés chimiques indésirables (médicaments, pesticides, entérotoxines…) et des hormones stéroïdes, ou autres produits du métabolisme, toxiques s’ils s’accumulent. Ce travail d’épuration est accompli grâce à des cellules spécialisées et un système enzymatique spécifique. La bile, très alcaline, stockée dans la vésicule biliaire et libérée lors de la digestion, permet le drainage des déchets liposolubles et du cholestérol en excès et favorise le transit intestinal.
Aujourd’hui où l’alimentation autant que l’environnement apportent leur lot de toxines / toxiques, drainer, protéger, vitaliser le foie sont des gestes-santé indispensables.
Plantes et oligoéléments: une action synergique
Chardon-marie - Silybum marianum
Les graines de cette astéracée sont riches en silymarine,
un ensemble de flavonolignanes composé principalement de
silybine et d’un antioxydant très puissant, la taxifoline ou
dihydroquercétine[7]
. La silymarine est aussi anti-inflammatoire[1]
. Elle stimule l’activité de l’ARN polymérase A et
favorise donc la biosynthèse enzymatique ce qui stimule
la capacité de régénération du tissu hépatique. Ces
propriétés font du chardon-marie un hépatoprotecteur
puissant: il réduit l’hépatotoxicité induite par des composés
tels que l’alcool, le tétrachlorure de carbone, la phalloïdine
de l’amanite phalloïde[2]
.
Il montre des effets protecteurs contre des hydrocarbures
aromatiques polycycliques, en réduisant le statut rédox,
en modulant les enzymes de conjugaison au GSH (glutathion),
en inhibant LPO (lactoperoxidase) et en réduisant
les ROS (espèces réactives oxygénées) par modulation des
taux d’enzymes antioxydantes (Kiruthiga et al. sept.2010).
Il permet de réduire la fibrose hépatique[2]
. En médecine
classique, on s’en sert en cas de troubles fonctionnels
digestifs d’origine hépatique et comme traitement d’appoint
des pathologies hépatiques.
Artichaut - Cynara scolymus
Ses feuilles contiennent de nombreux dérivés phénoliques,
dont la cynarine, stimulant la sécrétion biliaire[3]
et
offrant une protection antioxydante[3]
aux hépatocytes.
L’artichaut agit aussi sur les taux de lipides sanguins et de
cholestérol (Küskü-Kiraz et al. 2010). Il renferme de l’inuline
à rôle prébiotique. C’est un draineur hépato-biliaire[4]
.
Desmodium - Desmodium adscendens
Originaire des zones équatoriales d’Afrique et d’Amérique
Latine, il est traditionnellement utilisé pour traiter les hépatites
virales et l’asthme. Ses principes actifs : des flavonoïdes
(surtout dans les fleurs), des saponines dont des triterpènes
(soyasaponines I et III) et des alcaloïdes très présents dans
les feuilles. Le desmodium a une activité antiasthmatique,
antiallergique (avec hypersensibilité immédiate) avérée*:
stimulation des monocytes, dépression durable des IgE[5]
.
Les soyasaponines lui confèrent des propriétés hépatoprotectrices[8]
.
* Biological Activities for Extracts of Amor Seco (Desmodium adscendens).
www.rain-tree.com/amor-seco - activities.pdf
Boldo - Peumus boldo
Ses feuilles contiennent des alcaloïdes dont la boldine, des
flavonoïdes (catéchine)[5]
, une huile essentielle, des résines
et tannins. La boldine interfère avec le système cholinergique
et cause la contraction de la vésicule biliaire accroissant la
sécrétion de la bile[9]
.
En 1987, la Commission E Allemande a approuvé l’usage
des feuilles pour traiter la dyspepsie et divers troubles
gastro-intestinaux. On a pu observer que le boldo a des
effets antioxydants [6]
, relaxants des muscles lisses, et
hépatoprotecteurs[10]
.
Solution minérale riche en éléments antioxydants
Manganèse, cuivre et zinc sont des oligoéléments intervenant dans l’activité de nombreuses enzymes spécifiques de la détoxification[11,12] .
Bibliographie
[1] ELENA J LADAS, KARA M KELLY
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P, GUIZZARDI S, RENZULLI C, GUERRA
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[5] Le site du Desmodium adscendens
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