ErgyPar Complément alimentaire Confort Digestif Nutergia - 250 mL

Restaure l'équilibre gastro-intestinale

Le complément alimentaire Ergypar de Nutergia est une synergie phytominérale pour favoriser l'élimination des pathogènes. Ergypar est composé d'une association de 6 plantes aux propriétés complémentaires : 

Minéraux et oligoéléments pour renforcer la protection gastro-intestinale :

Indications

ERGYPAR peut être conseillé :

• En complément d’un vermifuge dans les cures d’élimination de parasites (enfants, voyage dans les pays tropicaux, présence d’animaux domestiques…), 
  
• Pour améliorer les désagréments gastro-intestinaux associés à des déséquilibres de la flore intestinale, 
  
• Chaque fois qu’un terrain vulnérable aux micro-organismes est suspecté, 
  
• En cures saisonnières pour améliorer l’écosystème intestinal.
  

Conseils d'utilisation

Adultes, > 12 ans : 10 ml à 20 ml par jour, dans ½ verre d’eau de préférence en dehors des repas.
Enfants 3 - 6 ans : 2,5 ml par jour.
6 - 12 ans : 5 ml par jour.
En cures de 20 à 30 jours, 2 à 3 fois par an. 

Utilisation à partir de l’âge de 3 ans (avant remplacer par ERGYBIOL)

Ingrédients

Solution aqueuse d’oligoéléments (eau filtrée, concentré d’eau de mer, filtrat d’eau argileuse, gluconate de fer, chlorures de zinc et de chrome, sulfates de manganèse et de cuivre, molybdate et sélénite de sodium, acidifiant : acide lactique), stabilisant : glycérine végétale ; extraits de gingembre (Zingiber officinalis)**, noyer (Juglans regia)**, gentiane (Gentiana lutea)**, grande aunée (Inula helenium)**, thym (Thymus vulgaris)** et mauve (Malva sylvestris)**, conservateur : sorbate de potassium ; arôme naturel, acidifiant : acide lactique. ** Plante de culture biologique ou sauvage

Une hygiène gastro-intestinale efficace

Les parasitoses intestinales sont loin d’avoir disparu notamment en collectivité d’enfants*. Ainsi l’oxyurose, très fréquente chez les enfants en âge scolaire, contagieuse, est causée par un petit ver blanc, Enterobius vermicularis. Les œufs présents dans le milieu extérieur (bacs à sable...) sont ingérés et donnent des larves puis des adultes dont les femelles pondent vers l’anus, générant des prurits, sources d’auto-infection. C’est par les kystes parasitaires présents dans de l’eau ou des aliments contaminés que Giardia intestinalis, protozoaire, contamine les petits enfants (crèche)*. Autres parasites plus rares en Europe, 2 vers intestinaux : l’ascaris et le ténia ou ver solitaire. Les signes évocateurs d’une parasitose sont : des troubles du sommeil, une nervosité inhabituelle, des "patraqueries" digestives, une fatigue chronique. Empêcher la multiplication des parasites à l’intérieur de l’organisme hôte, et les déloger, sont impératifs pour entretenir la santé digestive. * BOUCHAUD O. www.fmcgastro.org › FMC-HGE : Parasitoses intestinales méconnues. 2008.

L’association efficace: plantes et minéraux

Noyer - Juglans regia

Depuis des siècles, les feuilles du noyer sont utilisées pour leurs propriétés antiseptiques [4] , vermifuges [3] et tonifiantes. Parmi les principes actifs, on trouve des tannins abondants (galliques et catéchiques), des acides organiques et des dérivés quinoniques. Traditionnellement utilisé dans les processus infectieux de type digestif, le noyer est utile lors de parasitose intestinale.

Gingembre - Zingiber officinale 

Sa racine est utilisée tant par la médecine ayurvédique que la médecine traditionnelle chinoise depuis des millénaires. La commission E reconnaît l’usage du rhizome de gingembre pour améliorer les inconforts digestifs (dyspepsies) ainsi que les nausées dues au mal des transports et pendant la grossesse (OMS), à une dose ne dépassant pas 2 g de gingembre séché. Ses principes actifs sont : des huiles essentielles, des gingérols, composés phénoliques qui lui donnent son goût piquant. 

Gentiane - Gentiana lutea 

La racine contient des principes amers tels le gentiopicroside (2 à 3 %), antioxydant et protecteur hépatique, et l’amarogentioside, antiparasitaire[6] (à très faible concentration mais très puissant). "Apéritive", elle favorise l’appétit par stimulation réflexe des sécrétions salivaire et stomacale par sa forte amertume [5] . Cholagogue[5] (augmente l’évacuation biliaire), elle facilite la digestion et évite les ballonnements. 

Grande aunée - Inula helenium 

Les racines de cette petite astéracée contiennent une huile essentielle (de 1 à 5 %) source de lactones sesquiterpé- niques à activité antihélminthique et inductrice d’enzymes détoxifiantes. La grande aunée est traditionnellement utilisée comme antiparasitaire [8] et antimicrobienne[7] . Elle a des propriétés antifongiques importantes contre C.albicans et glabrata [9] . 

Thym - Thymus vulgaris 

Les sommités contiennent de l’huile essentielle empê- chant la putréfaction et la prolifération bactérienne grâce à la présence de deux composants phénoliques majeurs, antiseptiques[9] , le thymol et le carvacrol. On note aussi la présence de monoterpènes anti-inflammatoires (paracymène, bornéol, géraniol). Le thym est traditionnellement utilisé comme vermifuge [10,11] , antiseptique, carminatif, expectorant et tonifiant général de l’organisme. 

Mauve - Malva sylvestris 

Les fleurs de mauve contiennent d’abondants mucilages qui agissent en tapissant les muqueuses digestives, les proté- geant ainsi d’agents irritants. Elles réduisent les inflammations [12] du tractus digestif, spécialement du rectum et de l’anus. In vitro les extraits de fleurs ont des propriétés antibactériennes contre de nombreuses bactéries dont E. coli et des propriétés antifongiques contre C. albicans[13] . 

Solution minérale riche en éléments antioxydants, antiradicalaires 

Les parasites colonisant le tractus digestif vont irriter les tissus organiques, déclencher la réponse immunitaire. Les oligoéléments, en particulier le sélénium, vont permettre la protection antiradicalaire, antioxydante en relançant les cascades enzymatiques et participeront aussi à l’activité anti-inflammatoire.

Bibliographie

[1] SINGH G, KAPOOR IP, SINGH P, DE HELUANI CS, DE WLAMPASONA MP, CATALAN CA - Chemistry, antioxidant and antimicrobial investigations on essential oil and oleoresins of Zingiber officinale. Food Chem Toxicol. 2008 Oct;46(10):3295-302. [2] GHAYUR MN, GILANI AH - Pharmacological basis for the medicinal use of ginger in gastrointestinal disorders. Dig Dis Sci. 2005 Oct;50(10):1889-97. [3] Traditional antihelmintic, antiparasitic and repellent uses of plants in Central Italy. Guarrera. Journal of Ethnopharmacology. Volume 68, Issues 1-3, 15 December 1999, Pages 183-192. [4] PEREIRA JA, OLIVEIRA I, SOUSA A, VALENTAO P, ANDRADE PB, FERREIRA I C. F. R., FERRERES F, BENTO A, SEABRA R, ESTEVINHO L - Walnut (Juglans regia L.) leaves: Phenolic compounds, antibacterial activity and antioxidant potential of different cultivars. Food and chemical toxicology. 2007, vol. 45, n°11, pp. 2287-2295. [5] Herbal Drugs and Phytopharmaceuticals: A Handbook for Practice on a Scientific Basis, 3rd edition. Stuttgart (D): Medpharm GmbH Scientific Publishers; 2004. Wichtl M, editor. [6] MEDDA S, MUKHOPADHYAY S, BASU MK. J ANTIMICROB CHEMOTHER - Evaluation of the in-vivo activity and toxicity of amarogentin, an antileishmanial agent, in both liposomal and niosomal forms. 1999 Dec;44(6):791-4. [7] LUCEY B, COTTER L, O’SHEA S - In vitro activity of Inula helenium against clinical Staphylococcus aureus strains including MRSA. Br J Biomed Sci 2009; 66(4); 186-189. [8] JAMES A.DUKE - The Green Pharmacy. Ph.D. 1997. Intestinal Parasites p 303. [9] DERIV A et al - 2008. [10] IHSAN EDAN AL-SAIMARY, SUNDUS S. BAK, BASSAM Y. KHUDAIER, YASS K ABASS - Efficiency of antibacterial agents extracted from Thymus vulgaris l. (lamiaceae). The Internet Journal of Nutrition and Wellness 2007: Volume 4 Number 1. [11] BEHNIA M, HAGHIGHI A, KOMEYLIZADEH H, TABAEI SJ, ABADI A - Inhibitory effects of Iranian Thymus vulgaris extracts on in vitro growth of Entamoeba histolytica. Korean J Parasitol. 2008 Sep;46(3):153-6. [12] BARROS W, CARVALHO AM, FERREIRA IC - Leaves, flowers, immature fruits and leafy flowered stems of Malva sylvestris: a comparative study of the nutraceutical potential and composition. Food Chem Toxicol. 2010 Jun;48(6):1466-72. [13] RAZAVI et al - 2011.